samedi 28 juillet 2012

Bulletin de liaison n°4

Enfin le bâtiment CETRAMA:

Nos actions en 2011


Avec un grand retard pour la mise en ligne de nos activités 2011, je présente mes excuses aux lecteurs.
Depuis la dernière parution en 2010, les activités ne se sont pas arrêtées pour autant.
Merci de votre compréhension
Paul SIGNAHODE
Président
Enfin !!
Le 19 février 2011 a eu lieu l’inauguration du Cetrama (Centre de transformation du manioc) à Koudo, commune de Lokossa.Construit par l’association Elezo, avec le soutien de la mairie locale, a pour but exclusif de soulager les peines des personnes handicapées de Lokossa et des alentours. Cet atelier est situé sur un périmètre ­agricole d’une superficie de 4 ha. Le but d de cette action est de favoriser l’insertion socioprofessionnelle de ces personnes à ­mobilité réduite.



Du matériel médical acheminé

Le 28 mars 2011, nous avons envoyé deux containers de 40 et 20m³ avec du matériel médical qui contenait une trentaine des lits médicalisés, deux échographes équipés avec lecteur VHS, imprimante couleur et imprimante noir et blanc, tout un équipement de bloc opératoire, un vélo pour test d’efforts, deux chariots de repas, un petit meuble bas, quatre pompes à perfusion, trois pousse - seringues, un moniteur simple (prise de tension…), une pompe PCA utilisée pour les rachianesthésies, du petit matériel chirurgical, des fauteuils roulants, des jouets et vêtements. Tout ceci grâce aux dons de la clinique mutualiste Bénigne - Joly de Dijon, de l’hôpital de ­Vesoul et de celui de Gray. Michel.
Monsieur Martin, président de la Mutualité française Côte-d’Or–Yonne, a œuvré pour la collecte des dons.



Le 26 juin 201, le maire de Lokossa Dakpè Sossou est venu à Quetigny signer une convention de partenariat avec l’association Elezo. Ce document de six pages dresse les domaines d’activités retenus pour une période de trois ans renouvelables. Il en va de l’éducation scolaire à la promotion de l’agriculture en passant par la santé communautaire. Les deux parties s’engagent à apporter un appui consistant aux populations de Lokossa afin de soulager les couches vulnérables que sont les femmes en milieu rural, les enfants, les paysans et les ­artisans
 A suivre
Merci

mardi 3 août 2010

Bulletin de liaison n°3

DELEGATION ELEZO Février 2010
C’est tout d’abord la réception de la délégation par le maire de LOKOSSA que notre séjour a réellement commencé.

Le 08 février 2010 à 10 heures précises, Monsieur Dakpè SOSSOU, Maire de LOKOSSA, son Conseil Communal et les populations de la Commune nous ont officiellement reçus par une cérémonie riche en démonstrations culturelles et d’émotions.


Monsieur le Maire, de par son allocution de bienvenue, a témoigné sa reconnaissance envers notre association ELEZO qui depuis maintenant cinq ans aide les handicapés de LOKOSSA.


Monsieur Armand SOMISSOU


Puis c’est au tour de Monsieur Armand SOMISSOU président de l’ONG GROSOMODO ‘’HANDIC’’ de dresser l’inventaire peu réjouissant des conditions de vie des personnes handicapées au Bénin et particulièrement dans la commune de LOKOSSA.


Madame Josette SIGNAHODE (Marraine)


Monsieur Sotel HOUESSOU (parrain)

Monsieur Sotel HOUESSOU et Madame Josette SIGNAHODE respectivement parrain et marraine de l’ONG GROSOMODO ‘’HANDIC’’ ont encouragé les handicapés à être confiants.
Malgré les efforts des autorités locales – du Maire et du Préfet des départements du Mono et du Couffo – Monsieur Corentin KOHOUE- pour soutenir leurs actions, il reste encore beaucoup à faire en matière de développement durable afin que ces personnes soient indépendant financièrement et jouir d’une bonne santé.

Monsieur le Maire de LOKOSSA


Et l’assistance

Nos engagements au près d’eux continuent :
Cette année, nous finançons la construction de l’atelier de transformation du manioc qui sera produit sur le site de KOUDO ainsi que d’autres cultures tels que : Maïs, et autres légumes. Le coût total de l’investissement est d’environ 20 000 €uros, l’équivalent de 13.120.000 Francs CFA.
Le jeudi 11 février, la cérémonie de pose de la première pierre sur le site situé à Koudo dans la commune de Lokossa a eu lieu accompagnée d’une ambiance festive.



Pose de la première pierre


Récolte du manioc sur le site de KOUDO


Cette année, six lycéennes du lycée Sainte Marie de gray en Haute Saône et leur directeur, ont fait le voyage avec nous dans le cadre des accords d’échanges culturels entre ELEZO et GROSOMODO ‘’HANDIC’’.



Etat d’avancement des travaux de construction de l’atelier de transformation du manioc (mai-2010)
PHOTO 1 : Etat d’avancement des travaux. Les espaces où ne se trouvent pas les briques sont réservés pour les claustras.

PHOTO 1-2 : Vue prise à l’intérieur du bâtiment

PHOTO 1-3 : Idem

PHOTO 1-4 : Niveau d’exécution des travaux de construction.

PHOTO 1-5 : Voici un maçon qui est en train de faire le mélange du sable et du ciment.


PHOTO 1-6 : Voici le champ complètement sarclé. L’état d’évolution du maïs qui attend la fumure sur recommandation de la Direction Générale du Ce.R.P.A (Centre rural pour la Promotion Agricole Mono-Couffo.

PHOTO 1-7 : L’état d’avancement des travaux champêtres.
Etape de labour.

PHOTO 1-8 : L’état d’une partie de l’espace labouré.

PHOTO 1-9 : Vu de près le maïs après quinze jours.

Voici le Chef du village d’Adrodji. Il est notre représentant sur le terrain.
Il fait beaucoup pour l’évolution des travaux.

musique vaudoun -Bénin

dimanche 4 avril 2010

Bulletin de liaison n°2 (Mars 2010)

Début de la construction de l'atelier ''transformation Manioc''


samedi 3 avril 2010

Rubrique Plantes culinaires et thérapeutiques

Le GINGEMBRE








Appellation en fon : Dotè
Plante originaire de l’Inde et de la Malaisie, le Gingembre est cultivé dans les zones humides proches des villages. La partie consommée de la plante est la racine appelée rhizome.
· Le rhizome du gingembre est utilisé selon les pays, comme épice entrant dans les assaisonnements (sauce, viande grillée, poisson etc.)
· En pharmacopée traditionnelle africaine, le rhizome est utilisé comme accélérateur de la digestion, antitussif et aphrodisiaque.
Le goût piquant que l’on relève est dû aux principes actifs contenus dans le rhizome appelés gingerol et le shogaol.

Boisson au Gingembre
1) Ingrédients pour 6 à 7 litres :
600 g de gingembre
¾ de litre de jus de citron vert (choisir plutôt jus de citron vert de la marque ‘’Pulko’’ moins cher que le jus de citron vert naturel.
500 g de sucre de canne ou un demi litre de sirop de canne des îles.
1 gros bouquet de menthe (environ 250 à 300 g).
2) Préparation :
Eplucher le gingembre.
Hacher –le à l’aide d’un robot puis ajouter :
¾ de litre du jus de citron vert ou du PULKO.
500 g de sucre de canne ou de sirop de canne des îles.
Le gros bouquet de menthe.
3) Mixer le tout puis rajouter 6 à 7 litres d’eau et faire macérer le tout pendant 24 heures. Filtrer le tout et laisser au réfrigérateur.
Cette préparation peut s’utiliser pour calmer les mots de gorge et de la toux.
Pour ceux qui aiment cette boisson un peu alcoolisée, on peut rajouter 1 litre de rhum agricole pour constituer 8 à 9 litre de boisson.
Ne pas trop en abuser

Le CYMBOPOGON CITRATUS

Appellation en Fon : Tcha man
Famille botanique des poacées cette plante est communément appelée citronnelle.
Son origine est probablement de l’Inde mais est cultivée partout en Afrique. Ses feuilles sont odorantes.
Le citral qui est le principal principe actif lutte efficacement contre les moustiques et la fièvre due au paludisme.
Au bénin la décoction des feuilles entre dans les remèdes contre la drépanocytose et aussi pour lutter contre l’hépatite.

Utilisation quotidienne :
En tisane, faire infuser une poignée de feuilles dans un ½ litre d’eau à boire à volonté. C’est un diurétique confirmé.

Le Bénin



  • Quelques points de repères : Le Bénin, ex-Dahomey, couvre une superficie de 112000 km² (1/5ème de la France).
Il s’étend de l’océan atlantique au sud jusqu’au fleuve Niger au nord. Pays limitrophes : Togo à l’ouest, Burkina Faso au nord-ouest, Niger au nord et le Nigéria à l’est.
  • Le climat est de deux types : Equatorial au sud avec forte humidité et tropical au nord. Les températures moyennes varient de 25 à 28 °C.
  • La population compte 7 862 944 habitants en février 2009. Densité de la population 69,8 hab. / km² Taux de croissance de la population 2,73 % Âge médian (population totale) - Hommes - Femmes 17,6 ans17,2 ans18,0 ans Structure par âge - 0-14 ans - 15-64 ans - 65 ans et plus 44,1 %53,5 %2,4 % Rapport de masculinité (population totale) - À la naissance- Moins de 15 ans- 15-64 ans- 65 ans et plus 0,98 homme/femme1,03 homme/femme1,02 homme/femme0,97 homme/femme0,69 homme/femme Part de la population urbaine 45 %



Sources: The World Factbook, CIA; ONU; FAO





Les principales ethnies sont: Les fons, les Yorubas dans le sud, les baribas dans le haut Bénin, les Peulhs dans le nord. Les européens représentent 1 % de la population.

Religion
Le bénin est le berceau du Vaudou dont les adeptes représentent 50 % de la population.
Christianisme 30 % Islam 20 %
La population vit principalement de l’agriculture : culture de palmier à huile, arachide, coton, café, tabac, ricin, manioc etc.
Quelques villes
Porto-novo : Capitale historique, couvre 195000 hectares. Bâtie sur une petite colline au bord de la lagune, elle fut baptisée par les portugais (Puerto-Nuovo). On peut y visiter le musée Ethnographique.
Cotonou : La plus grande ville du Bénin compte environ 1.000.000 d’habitants. Capitale économique, Cotonou est le centre politique et administratif. La ville concentre 2/3 des établissements industriels. Avec son port et son aéroport international, elle réalise plus de 98 % des importations du Bénin.
Ganvié : A quelques kilomètres de Cotonou et sur le lac ‘’Nokoué’’, village lacustre où vivent des familles de pêcheurs. Les déplacements se font en pirogues. Le marché est un marché flottant où les femmes échangent et vendent de leurs pirogues les marchandises les plus diverses
Abomey : Capitale prestigieuse de l’ancien royaume de Dan-Homé. L’ensemble des palais royaux abrite
Aujourd’hui le musée historique.
Les villes du Bénin ont plusieurs origines : les plus anciennes sont soit des escales sur les pistes commerciales (Djougou, Kandi) ou capitales d’anciens royaumes (Nikki, Kétou, Savè, Porto-novo Abomey, Parakou.)
Certaines sont nées du commerce de traite (Ouidah), Grand-popo) et de la colonisation (Bohicon, Malanville).

Artisanat


Bulletin de liaison n°1 (Janvier 2010)


Le mot du Président,

Tout d’abord permettez-moi de vous présenter à l’occasion de cette nouvelle année 2010, mes chaleureux vœux de bonheur, de réussite et de fraternité.
Un grand merci aux personnes qui à ce jour ont de par leurs adhésions et de leurs dons, marqué leur intérêt pour notre association car c’est grâce à leur bienveillance et générosité que ELEZO peut correctement fonctionner.
Historique de notre association
C’est en octobre 1996 que notre association a été créée. Elle est parue au journal officiel le 07 novembre de cette même année.
A sa création, ELEZO était une petite amicale, puis les membres fondateurs ont souhaité aller plus loin en soutenant des actions en rapport avec l’éducation et la santé des enfants au Bénin.
De petits projets en petits projets, nous avons pu réaliser partiellement ou entièrement quelques actions engagées.
1999-2005 : véritable démarrage de nos actions à OUESSE (commune située au centre du Bénin) où nous avons construit 4 salles de classe dans des écoles primaires puis fourni des fournitures scolaires et matériels divers aux écoles.
Un médecin de la banlieue de Cotonou (capitale économique) a également reçu notre soutien en fourniture de médicaments et en petits matériels de chirurgie.

Salle de classe avant la nouvelle construction

Salle de classe construite par ELEZO
Ensuite à Pahou, l’achat d’un terrain a permis à l’école primaire de ‘’Pahou quartier’’ de construire un complexe éducatif (salle de classe et bureau de la directrice) par l’ONG ‘’aide et action’’.
Un passage à niveau de chemin de fer construit par ELEZO a permis de sécuriser l’accès au collège d’enseignement général de Pahou. Un forage de puits fut réalisé par la suite pour limiter l’épidémie de bilharziose qui posait des problèmes de santé aux élèves. Un château d’eau a été construit pour une meilleure gestion de l’eau du forage.
2000-2008 : La commune de Ouidah a vu naître plusieurs actions. Tout d’abord à AHOUANDJI ou nous avons construit une citerne de récupération d’eau de pluie pour fournir de l’eau potable à l’école primaire du fait de la proximité de la mer où l’eau est salée.
L’orphelinat ‘’Espoir d’enfants’’ de Ouidah reçoit depuis cette période des dons de vêtements, de diverses fournitures scolaires et de jeux pour enfants.


L'orphelinat ''Espoir d'enfants de Ouidah

Don de lunettes à l’hôpital de zone
L’hôpital de zone de Ouidah reçoit également une aide de notre part en matière de fourniture de lunettes de vue à son service ophtalmologique tous les ans d’environ 300 paires. Des Peluches on également été fournies à la maternité.
En 2007, nous avons financé avec le Rotary – club de Ouidah la construction d’une salle d’attente pour la maternité de l’hôpital de zone.
La salled'attente


Pour cet hôpital, nos actions continuent : La délégation de 2010 amènera des lunettes comme à l’habitude.

Au cours de la même période de 2000, ELEZO a été sollicité par un étudiant béninois en Thèse à Dijon et originaire de LOKOSSA pour que nous venions en aide aux handicapés (‘’L’ONG GROSOMODO’’) de sa commune.
La délégation commise par ELEZO a pu se rendre compte sur place de la faisabilité du projet et d’établir les besoins. Aussi avons-nous décidé au sein du conseil d’administration de mettre en place tout d’abord un prêt de 500 euros sans intérêts pour soutenir leur projet d’extraction de l’huile de palme dont le bénéfice de la vente a permis aux handicapés de subvenir à leurs besoins financiers. La réalisation de ce projet a été un succès et le prêt nous a été remboursé.
Depuis, la mise en place de la culture de manioc (base de l’alimentation du béninois) a permis a ‘’GROSOMODO’’ de faire la première récolte et de transformer la production en ‘’GARI’’ (farine de manioc). Le bilan de cette première année a connu un déficit d’exploitation d’environ 300 euros malgré le don de 8000 euros que notre association a fait pour le démarrage du projet. Ce déficit d’exploitation est dû essentiellement aux amortissements de matériels. Espérons que le prochain exercice apportera des bénéfices d’exploitation car le projet est viable.


Champ de manioc


Epluchage des tubercules


La râpeuse des tubercules


La presse

En 2009 après 14 ans d’activité, 31 adhérents, 22 donateurs nous ont rejoint et le dossier de LOKOSSA a été soutenu par le conseil général de Bourgogne et le secrétariat d’état à la francophonie et à la coopération internationale. Nous a ensuite rejoint un mécénat (HERBAROM) dont les dons nous a beaucoup aidé pour le projet de construction de l’atelier de transformation du manioc. Un grand merci également à Monsieur et Madame MASNIERE de la société Ligne Manon qui depuis 3 ans maintenant nous aide à hauteur de 1000 Euros par an.
C’est vous dire que nos actions ont trouvé une audience au près de l’état et de sponsors.
Votre adhésion vous invite à adhérer aux objectifs et à la promotion des actions de ELEZO.
Vous voulez participer à la gestion de ELEZO, portez-vous candidat au conseil d’administration et assurez-vous de pouvoir vous investir un minimum de temps et de le conjuguer avec vos autres obligations.

Ceci dit, nous devons continuer et ne pas décevoir !



En France et pendant tout ce temps nous n’avons pas baissé les bras pour représenter l’association à diverses occasions et manifestations publiques de solidarité internationale.
Elezo a participé et animé des manifestations culturelles pour diverses institutions et municipalité. Beaucoup de ces rencontres ont été le théâtre d’échanges chaleureux riches en enseignements
Quelques actions passées :
Octobre 1997 : Création du CADREC (Collectif Afro -domien de rencontre et d’Echanges Culturels sous l’impulsion de Paul SIGNAHODE. Malheureusement ce collectif n’a fonctionné qu’une saison.
Du 15 février 1997 à fin décembre 2000 des cours d’initiation à la percussion africaine et béninoise ont eu lieu dans des écoles, collèges et lycée et dans des maisons de jeunes et de la culture de la région dijonnaise pour faire connaître notre culture africaine.
Printemps 2000 : Jubilé Monseigneur Parisot à Brognon en côte d’or.
Mai 2003, en partenariat avec le centre social et culturel LEO LAGRANGE DE Quétigny, création d’un stage de danse africaine animé par Danièle CREMAS venue de Paris. Cette initiative n’a malheureusement pas duré car au bout de 3 années de fonctionnement nous avons dû arrêter à cause de perte d’exploitation faute de participants stagiaires conséquents.

Le 7 Novembre 2008 à RIMAUCOURT en Haute- Marne :
Nous avons présenté le Bénin aux élèves du primaire des communes de Andelot et de Saint Blin dans le cadre de nos activités culturelles et d’échanges sous l’impulsion de Monsieur et Madame GUNTHER. Ensuite l’organisation de la soirée à la fois de vente d’objets d’art Africain et de débats autour de la culture Béninoise, 150 habitants de Rimaucourt nous ont rejoint. Le bénéfice des ventes nous a permis de continuer nos actions à LOKOSSA.


La tenue vestimentaire des femmes au Bénin y était rerésentée

Et celle des hommes aussi

Du 16 au 20 Novembre 2009 :
La semaine de solidarité internationale a été pour nous l’occasion de mener une action commune avec le lycée sainte Marie de Gray.
Exposition d’objets d’artisanat d’art du Bénin permettant de sensibiliser à un projet de coopération internationale à Lokossa
Présentation à des élèves de primaire et à des personnes âgées d’une exposition sur le Bénin (géographie, mode de vie, culture) préparée par les Lycéens de Ste Marie
Conférence sur le paludisme au Bénin et en Afrique, à l’intention d’élèves se destinant aux métiers de la santé au Centre hospitalier de Gray : Invitation des professionnels de santé à la conférence
Atelier « gastronomie béninoise » encadré par Paul SIGNAHODE avec les élèves du Lycée Sainte-Marie a eu lieu.
Et pour clôturer cette semaine, un repas équitable typique du Bénin servi aux parents d’élèves et tout public par les Lycéens de Ste Marie a eu lieu.

Pour les adhérents qui sont intéressés à la rédaction, merci de nous en faire part.
Nous recherchons aussi des articles en relations avec nos activités (Informations diverses sur un ou plusieurs sujets de santé en Afrique ou en zones tropicales), vous pouvez les envoyer à : association.elezo@gmail.com

Rédaction : Paul SIGNAHODE
Autres volontaires ?
Comité de relecture ?

QUI SOMMES – NOUS ?


Notre association a été déclarée loi 1901 et reconnue par les instances officielles en date du 30 octobre 1996. Elle est parue au journal officiel français le 07 novembre1996.
ELEZO signifie : en terme vernaculaire béninois, l’objet a pris feu. Ce qui veut dire simplement, ‘’ les cœurs s’enflamment’’.
Notre But :
- La rencontre et l’échange de Cultures entre Béninois et d’autres communautés.
- Aider les enfants du Bénin et d’ailleurs pour qu’ils accèdent dans de meilleures conditions à la culture et à la santé.
- Créer des bibliothèques dans des zones rurales.
- Envoyer des matériels scolaires aux enfants les plus démunis.
- Création et forage de puits pour la potabilité de l’eau de boisson des enfants et de la population en zone rurale.
- Venir en aide aux hôpitaux et maternités en zone rurale.
- Favoriser et développer les échanges culturels entre des classes françaises et béninoises.
- Œuvrer dans le cadre d’un réel partenariat pour la promotion d'un développement durable au Bénin.
- Mettre en place des actions permettant l'enrichissement de ces échanges: jeux, contes à créer par les différents partenaires.
- Développer les échanges technologiques de l'information et de la communication.
- Améliorer les conditions de vie des enfants dans les domaines sanitaire, alimentaire, éducatif afin de favoriser leur épanouissement.
Ce travail se faisant en partenariat avec des partenaires locaux et autorités locales béninoises.